Lolobobo In America • Le making of
Au printemps dernier, on s’est retrouvé A New-York et dans le Connecticut avec Michael Marco, ça faisait presque 30 ans qu’on n’avait pas fait de vidéos ensemble. En préparant mon voyage, j’ai eu l’occasion de discuter avec de nombreuses relations plus ou moins proches, m’on fait plein de remarques sur les USA, les voyages qu’ils y avaient fait, ou les clichés qu’ils en imaginaient.
Quand on s’est retrouvé, Michael qui vit là-bas depuis 30 ans, on a décidé de jouer avec tous ces clichés pour créer le portrait type du touriste français pénible .
Comment reconnaitre un touriste Français pénible aux États-Unis ?
Il y a trois signes :
→ Il a toujours l’air de ne rien comprendre à ce qui se passe autour de lui,
→ Il a constamment le nez en l’air,
→ Il est capable de lâcher toutes ses activités pour s’extasier sur un écureuil.
À partir de ces trois constats, ce fut un challenge amusant de créer l’archétype du pire touriste Français aux USA qui décide de documenter son séjour et qui serait accompagné d’un cameraman désagréable et irascible. Ensuite, on a décidé d’improviser. Grâce aux situations que le hasard mettait devant nos yeux.
Je vous propose ce qui aurait pu en être le making of
Et je vous propose d’aller voir les autres vidéos sur notre chaine Youtube et tant qu’à faire, abonnez-vous, vous n’êtes pas à l’abri qu’on en fasse d’autres.
5 commentaires sur “Lolobobo In America • Le making of”
Hello Guy
À propos de vidéo et de souvenirs de 30 ans d’âge (mûr), il me revient une virée toulonnaise avec le futur père Blaise à bord de mon vieux Toy.
Après avoir erré de Chicag’ à Vauban, on avait fini par tomber sur l’improbable silhouette de “Cindy”, dotée de 5 chaines de longueurs différentes courant de son nez à son oreille gauche, et qui nous avait fait découvrir en VIP le toujours célèbre Boys Paradise…
Memories…
Ho nous avons eu bien des virées toulonnaises rigolotes, je me rappelle aussi d’une virée ou je n’étais pas que vous m’aviez rapportée avec Jean-Robert qui vous avait amené a rencontré des toulonnais aux profils surprenants. 🙂
Ça me revient aussi, c’était encore plus loin dans le passé, avec la voiture blanche dont tu pensais très fort “Pourvu que le caoutchouc tienne le coup !”.
Bloqués sur une butte, un bon samaritain avait proposé de nous “pousser au cul” : son bon geste lui avait “défoncé la malle arrière”… Quelle vie trépidante nous avions !!
Hihi et c’est toujours bien que le caoutchouc tienne quand on te défonce la malle arrière…
À propos de voyage aux States, le tien s’est déroulé avant, pendant ou après les “tempêtes de requins” ?
J’ai eu le malheur de zapper sur MCM dernièrement : mes yeux, mes oreilles ont saigné à la vue d’un (pas assez) petit bout de Sharknado.
Quand on voit des productions comme celles-ci engranger de bénéfices à la distribution, on comprend aisément que des électeurs, aussi grands soient ils, aient pu remettre Trumpette à la maison blanche…
Il est minuit moins cinq… on en viendrait à encourager Vladimir et “Jong-Hun” de mettre un terme aux souffrances de 8 milliards de terriens (enfin, 99% d’entre eux, les autres ne souffrant manifestement pas…)
Idiocraty (Mike Judge et l’homonyme Etan Cohen, 2006) était largement prémonitoire mais le RedBull a remplacé le Gatorade… ça va plus vite !