De la vision sociale de la musique.
Ne prend pas peur avec le titre : on est quand même samedi
Je ne suis généralement pas fan des opérations de charity business, j’avoue même que les enfoirés me portent moins a m’interroger sur mon rôle dans la lutte contre l’exclusion, que sur les raisons qui peuvent les amener à massacrer des standards du rock et de la musique populaire.
Alors vous allez sans doute vous demander pourquoi j’en remet une couche sur The Zimmers (littéralement, les déambulateurs).
Ben tout d’abord parce que c’est samedi et que le samedi je met ce que je veux en fond musical sur ce site (c’est la règle du jeu ma pauv’ lucette).
En plus, je trouve l’histoire des Zimmers, géniale. c’est l’histoire d’une quarantaine de petits vieux qui souhaitent réagir à l’imminente fermeture du club du troisième age ou il passent leurs après midi, et qui en parlant avec le producteur du reportage qui est fait sur le sujet prennent la décision de faire un coup de pub avec une reprise d’un titre de Who. A travers ce projets, ils réalisent :
- Qu’ils aiment chanter ensemble.
- Qu’ils peuvent faire parler du troisième age mieux que toutes les campagnes gouvernementales
- Qu’ils peuvent récolter de l’argent pour les projets en faveurs des personnes âgées.(et en particulier la construction d’un foyer du troisième age pour leurs après -midi, car charité bien ordonnée…)
Alors, comme il y a un an j’avais adoré voir Alf Carretta (agé de 90 printemps) chanter « j’espère que je mourrai avant d’être vieux » je me suis dit que finalement la vieillesse n’existe pas, que le printemps n’a qu’une semaine et que c’était un truc top a écouter ce samedi.
PS : j’ai écouté l’album, il est bien meilleurs que celui des enfoirés…;o)
2 commentaires sur “De la vision sociale de la musique.”
Ah! Ça c’est bien pour un samedi et pas seulement! Je t’embrasse.
T’as vu ils sont péchus… et en plus ils on repris du prodigy … j’adore cette bande de jeunes