Miam

Sort de ce corps démon

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Non seulement il y a en moi une blogueuse de 26 ans qui sommeille, mais quand elle se réveille la blond atitude est en elle, la preuve avec cette conversation ménagère mettant en scène mademoiselle Lolobobo (ma fille), Une été en plastique volée à son frère (Lolobobo Jr.), un aspirateur (pas un Dyson) et votre serviteur.

Scène 1 (et unique)

Lolobobo passant l’aspirateur, le neurone en berne, Mademoiselle lolobobo faisant des moulinets avec l’épée devant celui-ci :

Mademoiselle Lolobobo (pointant son estoc au coeur de son vénérable père) : Ha Ha (rire sardonique) ! Je te mourir !

Lolobobo (prenant son ton docte de vieil académicien) : Non ma chérie, on dit ha Ha! je te tue !

Mademoiselle Lolobobo (répétant docilement tout en continuant à occire l’imbécile) : Oui d’accord Je te tue !

Lolobobo (prenant l’ai béat du père d’Einstein devant la créativité de sa progéniture) : bravo ma chérie !

(…)

Morale de cette histoire

le souhait de parricide n’est que broutille, si en français correct il est exprimé

(…)

Dolto et Marcel Rufo vont me maudire

2 thoughts on “Sort de ce corps démon”

  1. MaO dit :

    On dit aussi : "Luke, je suis ton père."

  2. lolobobo dit :

    On dit aussi :

    "Ô rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie !
    N’ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?
    Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers
    Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ?
    Mon bras qu’avec respect toute l’Espagne admire,
    Mon bras, qui tant de fois a sauvé cet empire,
    Tant de fois affermi le trône de son roi,
    Trahit donc ma querelle, et ne fait rien pour moi ?
    Ô cruel souvenir de ma gloire passée !
    Œuvre de tant de jours en un jour effacée !
    Nouvelle dignité fatale à mon bonheur !
    Précipice élevé d’où tombe mon honneur !
    Faut-il de votre éclat voir triompher le comte,
    Et mourir sans vengeance, ou vivre dans la honte ?
    Comte, sois de mon prince à présent gouverneur ;
    Ce haut rang n’admet point un homme sans honneur ;
    Et ton jaloux orgueil par cet affront insigne
    Malgré le choix du roi, m’en a su rendre indigne.
    Et toi, de mes exploits glorieux instrument,
    Mais d’un corps tout de glace inutile ornement,
    Fer, jadis tant à craindre, et qui, dans cette offense,
    M’as servi de parade, et non pas de défense,
    Va, quitte désormais le derniers des humains,
    Passe, pour me venger, en de meilleurs mains."

    mais c’est un peu plus long 🙂

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