Je râle
jusque la rien de neuf…
Le grand Chenu (à l’air Breton) viens de twiter une interview de Philippe Val sur le monde.fr.
on peut y lire, je cite :
(…) Le problème ne tient-il pas au mélange des genres : placer du divertissement au coeur d’une tranche d’information ?
Vous avez raison. Le problème ce n’est pas Stéphane Guillon en soi, c’est sa place. Il n’est écrit nulle part que l’humour doive intervenir à 7 h 55. Jusqu’où peut-on aller dans ce mélange sans nuire à l’information ? Le chantier est en cours, mais c’est une vraie interrogation.
Certains estiment que M. Guillon s’enferme dans une surenchère et cherche à se faire licencier pour devenir un martyr. N’avez-vous pas le sentiment d’être piégé ?
Cela ne m’interdit rien.
Et bien ça me la coupe
Parce que tu vois, Philippe Val ne fait pas partie des gens dont je suis la carrière au quotidien, et que l’image qui me restait de lui c’était celle du chansonnier qui (avec son collègue Font) balançait un peu surtout le monde quand j’étais ado…
De ce fait je pensait que ce gars comprendrait mieux que n’importe qui qu’un humoriste peut avoir sa place dans un rendez-vous d’informations et que son intervention (même si parfois les ficelles sont grosses) peut être l’occasion de relancer le débat.
Il se trouve qu’ayant éludé les quinze dernières années du parcours de monsieur Val, j’avais loupé son ascension politique et que je n’avais pas compris les enjeux de sa nomination à France Inter.
J’avais aussi complétement éludé un de ses talents, la chanson du spectacle ci-dessous n’était nulement une critique de l’époque ou elle a été écrite, mais une prophétie du futur de son interprète.
Elisabeth Tessier n’a qu’a bien se tenir