Et s’il n’y allait pas ?
La semaine dernière un sondage est paru : deux français sur trois ne souhaitent pas un deuxième mandat de Sarkozy.
Face à ce genre de sondages, on sent dans toutes es organisations politiques (hors UMP bien sur) comme un grand bonheur béat.
- Au centre on se dit que ça va ramener les voix des moins adroite de la droite.
- à l’extrême droite, on cire ses botes et on espère rameuter les plus sécuritaire des électeurs sarkosystes.
- Certains a gauche, comptent sur l’habituelle indécision des français et de leur amour de l’Alternance pour se dire que la partie est gagnée.
- Il paraitrait même que la reine du pays des bisounours pense rassembler derrière elle tous les habitants du pays…
Et puis la semaine dernière en papotant avec tata Geneviève, elle a mit sur la table une supposition : Et si Sarkosy n’était pas le candidat de la droite ?
C’est vrai ça ler pésident semble avoir réussi pendant son mandat à se mettre à dos une grande partie des français , même chez ses plus fidèles soutiens (souviens-toi des militants UMP de Neuilly-sur-Seine qui avaient déchiré leur carte pendant l’affaire de l’EPAD).
Mais cela ne signifie pas qu’il n’y a plus personne pour voter à droite. juste que le chef de la droite semble lasser.
Alors si le candidat n’était pas le président sortant. tout serait encore à jouer, il faudrait convaincre les français.
il va peut être faloir essayer d’élever le débat de la campagne, sortir des peopoleries , des news de Gala et de Voici, des débat stériles et des affaires de quéquette.
Car pour peux qu’on prennent la peine d’y penser, et d’en parler, il y a des idées à gauche qui mérite qu’on s’y intéresse, pour proposer une autre manière de faire la France.
Au boulot. parlons programme et idées, la partie n’est pas gagnée
2 thoughts on “Et s’il n’y allait pas ?”
Je n’y crois pas, il est déjà en campagne, requinqué par ses « exploits » européens.
Je n’y crois pas, il est déjà en campagne, requinqué par ses « exploits » européens.