La maladie d’amour
Majora Carter est ce que nos amis d’outre Atlantique appellent une activiste environnementale et sociale,
Elle défend l’idée qu’en plus de la ségrégation sociale, ou raciale il existe une forme de ségrégation dont personne ne parle , la ségrégation environnementale. pour exemple de ce concept, elle rappelle qu’aux Etats-Unis prés de 50% des des logements sociaux sont situés à moins de 2 km d’usines aux rejets toxiques (quand on y réfléchit un peu c’est aussi vrai dans d’autre quartier pauvres ailleurs autour du monde).
Pour lutter contre cela, en 2001, elle e créé l’association Sustainable South Bronx, dont le but est de contribuer a la réhabilitation environnementale de ce quartier pauvre de New York.
Cette trentenaire idéaliste lance cette semaine une jolie idée : Si tous nos problème de société viennent de notre manque d’empathie, pourquoi ne pas tenter de propager un virus «empathogène» dans les organismes des habitants de la planète.
et si le sommet de Copenhague avec ses délégation internationales était l’occasion de lancer cette opération de terrorisme bactériologique.
Allez une petite vidéo pour vous montrer la progression de l’épidémie.
J’aime bien ça
2 commentaires sur “La maladie d’amour”
Elle est folle elle ! La planète des Bisounours incarnée. Plus de guerres, plus d’esclavagisme déguisé, plus d’opression… Des gens responsables avant de penser à devenir riches par tous les moyens arrivistes possibles.
En plus, ça va appauvrir la qualité des infos morbides quotidiennes à la tévé…
Baaââhh, quelle horreur !! 😉
Mon dieu mais tu a raison, c’est qu’elle voudrait anéantir toutes les raisons d’entretenir ma dépression la bougresse 😉