Revue de stress
Lis tes ratures
Miss Zyeux jaunes a commencé en septembre sa dernière année de maternelle, elle est toute fière d’apprendre à écrire et actuellement elle écrit littéralement n’importe quoi (et elle l’assume aussi pleinement qu’un Bernard Werber) :
- Miss Zyeux Jaunes : Regarde ce que j’ai écrit !
- Moi (lisant) : Gxafrragnirc , c’est très joli, Mais ça ne veux rien dire ma chérie.
- Miss Zyeux Jaunes (avec son plus beau sourire enjôleur) : Si si ça veux dire le prénom d’une de mes copines
- Moi : Et bien tu dira à Gxafrragnirc que ses parents lui on trouvé un prénom pas facile à porter.
6 thoughts on “Lis tes ratures”
J’ai le vague souvenir d’avoir lu, il y a bien longtemps, un bouquin de Werber que j’ai trouvé pas mal. Si, si.
Je saurais pas te dire lequel.
Donc dans la liste des artistes à éviter selon toi :
– Cali (je suis totalement d’accord, c’est insupportable)
– Bernard Werber
Et qui encore ? Des noms ! Des noms !
Moi je dirais Lars von triers, Michel Houellebecq, Cali, Bénabar…
@David, c’est les fourmis que tu as lu il y a longtemps, et rassure toi, on a tous crié au géni a l’époque, c’est à cause de l’Encyclopédie du savoir relatif et absolu qui à l’époque nous paraissait fort rafraichissante, pas à cause des talent d’écrivains du bougre. Hélas, depuis le web avec ses millions d’infos quotidienne profonde ou futile a rendu obsolete l’ESRA et ne laisse pas grand chose a Werber.
Par contre je sais qu’a l’époque ou j’avais des stagiaires décérébrés qui étaient persuadés que s’ils ouvraient un livre il allait les mordre je leur parlais des fourmis et Werber arrivait à les faire lire un peu, et parfois même les incitait à lire autre chose. Pour cela, Werber mérite tout mon respect…
… même si plus le temps passe plus je trouve qu’il écrit écrit littéralement n’importe quoi
@& : attend tu parts sur un pente glissante là, ne m’incite pas à dire du mal, je pourrais le faire.
Allez par rapport à ta liste alors :
Bon pour Cali j’ai été découvert, Pour Werber j’ai argumenté un peu dans mon précédent commentaire.
Lars von triers m’est indifférent, Houellebecq me révulse (c’est même pas littéraire, c’est épidermique), Bénabar j’aime bien, même si j’ai un peu tendance a penser que plus les albums passe plus il ressemble à une caricature de lui même.
Finalement, ce qui m’énerve souvent chez un artiste (ou chez une personne en général, ce n’est pas son travail, mais son manque total d’humilité face à son travail).
C’était les fourmis. Indeed. Et le concept de l’ESRA m’avait en effet bien plus. L’autre jour, j’ai acheté Nous Les Dieux, et je me suis arrêté à la page 34. Insipide.
Bref, on another note, je twitte ton article sur Bobby Neel Adams. Carton !
@david : c’est gentil de faire ma promo sur twiter 😉